top of page
| enfance & éducation

un pas de géant pour la petite enfance

En matière de petite enfance, nous fixons le cap : garantir à tous les parents lyonnais un accueil sûr et de qualité pour leurs enfants de moins de trois ans.

Aujourd’hui plus d’une famille sur deux qui en fait la demande n'obtient pas de places en crèche. Faire garder son enfant est souvent un casse-tête pour les parents lyonnais.

Difficile dans ces conditions de concilier vie professionnelle et vie familiale ! Ce contexte est particulièrement injuste pour les femmes : trop souvent, ce sont elles qui mettent leur carrière professionnelle entre parenthèses, faute de solution de garde.

Cette insuffisance de capacité d’accueil des moins de trois ans pose également une question de santé publique : il est prouvé aujourd’hui que les 1.000 premiers jours de l’enfant constituent une période clé pour son développement et son épanouissement.

Enfin, cette situation n’encourage pas les familles à s’installer et rester durablement dans notre ville. Les derniers chiffres INSEE montrent que 52 % des ménages lyonnais sont composés d'une personne seule.

Notre objectif

Une obligation de résultat pour garantir à chaque famille lyonnaise un accueil sûr et de qualité pour les enfants de moins de trois ans.

 

Au service de cet objectif, une obligation de moyens !

  • Nous doublerons l’effort de construction de nouveaux berceaux avec 800 places créées (contre moins de 400 dans le mandat actuel) et subventionnerons les travaux dans les locaux associatifs.

  • Nous participerons à l’effort de formation et d’accueil en apprentissage des futurs professionnels de la petite enfance en partenariat avec les écoles présentes sur notre territoire.

  • Nous accompagnerons les assistantes maternelles (suivi social, accès facilité aux équipements de loisirs et de culture municipaux, développement des Relais Petite Enfance,...).

  • Nous développerons les actions de soutien à la parentalité et ferons une priorité de la prévention précoce de la maltraitance infantile et des violences intrafamiliales.

 

> Au total un investissement de 50 M€ pour la petite enfance sur 6 ans.

répondre aux besoins atypiques

Certaines familles ont des besoins atypiques en raison de l’activité  professionnelle du ou des parent(s). Nous proposerons une offre publique d’accueil du jeune enfant le samedi ou avec des horaires décalés en semaine.

> La réponse à certains besoins des familles ne doit pas reposer uniquement sur le secteur privé et marchand. Nous soutiendrons les structures municipales et associatives qui proposeront des horaires adaptés.

bottom of page